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Produit le : Mon Aug 29 23:11:33 2011, Par : machinman.net | Document complet |
Résolutions et décisions du Conseil de Sécurité 2001
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Résolutions adoptées et décisions prises par le Conseil de sécurité du ler janvier 2001 au 31 juillet 2002 |
Somalie à laquelle participeraient le Gouvernement national de transition et toutes les autres parties somaliennes, sans conditions préalables. Il appuie énergiquement l'appel que le neuvième Sommet de l'Autorité intergouvernementale a adressé au Kenya, à l'Éthiopie et à Djibouti (États de première ligne) pour leur demander de coordonner leurs efforts tendant à promouvoir la réconciliation nationale en Somalie sous la supervision du Président de l'Autorité intergouvernementale, et de tenir la Conférence de réconciliation sous la direction du Président Daniel Arap Moi (Kenya), qui serait chargé d'assurer la coordination entre les États de première ligne, le but étant de promouvoir le processus de paix en Somalie en vue de rendre compte au Président de l'Autorité intergouvernementale. Le Conseil, qui suivra de près l'évolution de la situation, souligne que la participation constructive et coordonnée de tous les États de première ligne est indispensable pour le rétablissement de la paix et de la stabilité en Somalie. Le Conseil demande à tous les États de la région, y compris les États non membres de l'Autorité intergouvernementale, de contribuer de manière constructive aux efforts visant à instaurer la paix en Somalie, notamment en usant de leur influence pour amener les groupes somaliens qui ne l'avaient pas encore fait à rejoindre le processus de paix. Il encourage le Secrétaire général à appuyer activement, par l'intermédiaire de son Conseiller spécial et du Bureau politique des Nations Unies pour la Somalie, l'initiative de l'Autorité intergouvernementale au cours de l'importante période à venir. |
« Soulignant que l'avenir de la Somalie dépend, au premier chef, de la volonté des dirigeants somaliens de mettre fin à la souffrance de leur peuple en négociant un règlement pacifique du conflit, le Conseil prie instamment toutes les parties de participer au processus de prise de décisions lors de la Conférence de réconciliation. Le Conseil affirme son intention d'examiner la situation en Somalie compte tenu des résultats de la Conférence de réconciliation quand elle aura terminé ses travaux, notamment en ce qui concerne la participation constructive ou l'absence de participation des différentes parties. |
«Vivement préoccupé par les combats qui se sont déroulés récemment à Mogadishu et dans la région de Gedo, le Conseil demande que l'on mette immédiatement fin à tous les actes de violence en Somalie. Il condamne les dirigeants des factions armées qui continuent de faire obstacle à la paix et à la stabilité dans le pays. Il souligne que les efforts de paix déployés en Somalie ne devraient pas être minés par les actes de violence délibérés ou tout autre acte visant à empêcher un retour à la normale dans le pays, ainsi que l'installation et la remise en état de structures de gouvernement. |
«Le Conseil prend note avec une vive préoccupation des flux continus d'armes et de munitions qui arrivent en Somalie en provenance d'autres pays, ainsi que de l'entraînement que suivraient les milices et des plans qui auraient été établis pour lancer des offensives de grande envergure dans le sud et le sud-est du pays. H est également préoccupé par le trafic et le commerce illicites d'armes légères dans l'ensemble de la sous-région. Il maintient qu'aucun État, en particulier les États de la région, ne devrait s'ingérer dans les affaires intérieures de la Somalie. Une telle ingérence ne peut que déstabiliser davantage la Somalie, créer un climat de peur et avoir des incidences défavorables sur la situation des droits de l'homme, et pourrait compromettre la souveraineté, l'intégrité territoriale, l'indépendance politique et l'unité du pays. Le Conseil maintient que le territoire de la Somalie ne dit pas être utilisé pour mettre en péril la stabilité dans la sous-région. Le Conseil souligne que la question de la situation en Somalie et de l'objectif de stabilité régionale à long terme peut être examinée avec la plus grande efficacité si tous les États de la région jouent un rôle constructif, y compris dans le processus de reconstruction des institutions nationales en Somalie. |
«Le Conseil demande à tous les États et aux autres acteurs de respecter scrupuleusement l'embargo sur les aimes prévu par la résolution 733 (1992) du 23 janvier 1992 et de communiquer toute information sur d'éventuelles violations au Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 751 (1992) du 24 avril 1992. Il se déclare déterminé à mettre en place, d'ici au 30 avril 2002 au plus tard, des arrangements ou des mécanismes concrets |
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